Plus belle la vie, encore plus belle en avance du 18 juin 2024 : la police identifie le criminel (Résumé de l’épisode 116)

Plus belle la vie, encore plus belle en avance du mardi 18 juin 2024. Dans l’épisode 116 de PBLV qui sera diffusé mardi à 13.40 sur TF1, Eric fait une intervention à sa manière au pavillon des Fleurs. De leur côté, les policiers font une découverte cruciale.

Plus belle la vie en avance du 18 juin 2024 News Actual
© Capture Newsactual/ TF1

Le résumé de « Plus belle la vie, encore plus belle » du lundi 17 juin 2024 de News Actual est également en ligne.

Les spoilers de PBLV jusqu’au 5 juillet 2024 sont aussi disponibles. Bonne lecture.

Plus belle la vie : résumé de l’épisode du 18 juin 2024

Une future recrue au cabinet médical

Au Pavillon des fleurs, Éric anime un cours de self-défense et Jennifer se porte volontaire pour la démonstration. De retour au cabinet médical, elle croise un homme qui souhaite déposer sa candidature pour un poste d’infirmier, car Babeth a besoin d’être épaulé. Mais Jennifer l’informe qu’ils ont déjà reçu beaucoup de CV. Pile au même moment, Babeth sort de son bureau et accompagne une candidate jusqu’à la sortie. Elle confie à Jennifer qu’elle pense avoir trouvé la perle rare. La secrétaire médicale informe alors Babeth que Pascal était venu postuler pour le poste d’infirmier. Celui-ci explique qu’il a vu le reportage sur le cabinet médical, qu’il a ressenti une forte cohésion d’équipe et qu’il aurait aimé en faire partie. Ensuite, il demande à Babeth s’il peut lui laisser son CV. Elle accepte et lui souhaite bonne chance dans sa recherche d’emploi.

De son côté, Éric demande à Blanche si elle a eu des retours de son atelier de self-défense et c’est le cas. Deux participantes ont jugé son histoire un peu trop angoissante. Blanche explique ensuite à Éric que les femmes du Pavillon des Fleurs ont souvent été victimes d’agressions et qu’il est crucial de ne pas raviver leurs souvenirs douloureux. Elle le rassure ensuite en lui assurant que son atelier a été un succès. Puis, Blanche demande à Éric de dispenser des cours de self-défense régulièrement au Pavillon des Fleurs, et il accepte immédiatement.

Un peu plus tard, Babeth prend un verre en compagnie de Gabriel au Mistral quand un homme est victime d’une crise d’épilepsie dans le patio. Pascal se précipite pour secourir la victime. Gabriel, présent, est impressionné devant les connaissances de l’infirmier. Gabriel demande à Pascal dans quel établissement il travaille, mais ce dernier lui répond qu’il est en ce moment à la recherche d’un emploi. Gabriel fait remarquer à Babeth que cet homme possède le profil parfait pour rejoindre le cabinet du Mistral.

Dans la journée, Pascal, l’infirmier, rejoint la victime qui est en fait un homme peu scrupuleux à qui il a demandé de simuler une crise épileptique. Il lui remet une somme d’argent et lui donne rendez-vous dans deux jours au cabinet médical pour la suite de sa mission.

Les enquêteurs identifient le criminel

Jean-Paul roule à vive allure vers l’hôpital. Patrick et lui transportent Anaïs qui est en situation d’urgence absolue. Un véhicule sort d’un parking et coupe la route de Jean-Paul. Mais les freins de ce dernier sont sanctionnés. Boher active le frein manuel et la voiture s’immobilise.

Le lendemain, au commissariat, Samuel est au téléphone avec la PTS. Après avoir raccroché, il confirme à Jean-Paul et Patrick que les freins de la voiture ont été intentionnellement sabotés. Jean-Paul en conclut que le tueur était dans le gymnase lorsqu’ils sont arrivés sur les lieux. Samuel précise à ses collègues que le pronostic vital d’Anaïs n’est plus engagé, mais qu’elle est encore faible. Quelques instants plus tard, il reçoit un appel de l’hôpital l’informant qu’ils ont l’autorisation d’interroger la jeune femme.

Boher se rend sur place pour questionner Anaïs. La jeune femme profite de l’occasion pour le remercier. Sans lui, elle ne serait plus de ce monde. Son père, Olivier, est également là et présente ses excuses à Jean-Paul pour s’être mal comporté vis-à-vis de lui.  Ce dernier souligne que le plus important est d’appréhender celui qui a fait ça à sa fille. Mais Anaïs ignore totalement qui a pu l’agresser. Elle n’a pas vu le visage de son agresseur. Il portait un masque, des gants et une capuche. Ensuite, elle fait allusion à un texto qu’elle a reçu la veille dans l’après-midi. Un mystérieux correspondant qu’elle ne connaissait pas lui donnait rendez-vous dans la rue pour lui parler de son frère. La jeune femme confie ensuite à Jean-Paul le code Pin de son téléphone pour qu’il puisse remonter jusqu’à ce mystérieux contact. Mais finalement son téléphone est trop abîmé pour être déverrouillé.

 Charlotte, de la PTS, informe Jean-Paul que des empreintes de pas ont été découvertes à l’arrière du gymnase où Anaïs a été agressée, et elles correspondent à celles qui ont été trouvées sur le chantier de la place du Mistral. Par conséquent, cela signifie que le voleur et le criminel sont une seule et même personne.

En fin de journée, Samuel, Patrick et Jean-Paul font le point sur l’enquête. Patrick vérifie ensuite les relevés téléphoniques d’Anaïs et fait une découverte cruciale : celui qui a envoyé le message à la jeune femme pour lui donner rendez-vous est l’un des trois suspects, à savoir la juge Colbert, maître Izar et le brigadier Quentin.

« Plus belle la vie, encore plus belle », c’est du lundi au vendredi à 13.40 sur TF1 et en rattrapage à 20.20 sur TFX le soir-même. La série est disponible en avance sur la plateforme TF1+ premium, la nouvelle offre payante de TF1.